Parfois il est bon de rire de sa passion. Toute passion est destructrice, c'est ce que me martelait ma prof de philo, et l'addiction au jeu vidéo peut paraître à certains, à tort ou à raison, comme un possible aboutissement, une potentielle asymptote vers laquelle tendre quand on est tant fan de ces pixels que l'on manipule à sa guise.
Chez The Koalition, ils ont le sens de l'humour, à l'anglaise, et l'un de leurs rédacteurs s'est amusé à dresser une liste des 10 "tares" susceptibles d'être caractéristiques de ceux chez qui le jeu vidéo est une nourriture, un besoin vital sans qui la vie n'a pas de sens.
Comme le dit si bien l'auteur, si vous vous reconnaissez dans l'une des lignes suivante voire même quelques unes, pas d'inquiétude. En revanche, si vous cumulez les 10 ou même une majorité d'entre elles, allez bronzer et faites du sport. Souvenez-vous que les hommes musclés ont deux fois plus de chances de connaître trois partenaires sexuels dans leur vie, de se taper des plans d'un soir voire même de commettre quelques viles sournoiseries (du type rendre cocu un tiers). C'est un autre débat. Revenons-en à nos moutons et à notre anglais de chez The Koalition. Voici la liste (réadaptée pour convenir aux consoleux comme aux pécéistes) :
Alors, qui parmi vous se place dans la catégorie "drogué des jeux vidéo" ? Qui sera le prochain à passer dans "ça se discute" ou au 20 heures pour un fait divers dont le jeu vidéo est encore et toujours l'unique cause ?
Chez The Koalition, ils ont le sens de l'humour, à l'anglaise, et l'un de leurs rédacteurs s'est amusé à dresser une liste des 10 "tares" susceptibles d'être caractéristiques de ceux chez qui le jeu vidéo est une nourriture, un besoin vital sans qui la vie n'a pas de sens.
Comme le dit si bien l'auteur, si vous vous reconnaissez dans l'une des lignes suivante voire même quelques unes, pas d'inquiétude. En revanche, si vous cumulez les 10 ou même une majorité d'entre elles, allez bronzer et faites du sport. Souvenez-vous que les hommes musclés ont deux fois plus de chances de connaître trois partenaires sexuels dans leur vie, de se taper des plans d'un soir voire même de commettre quelques viles sournoiseries (du type rendre cocu un tiers). C'est un autre débat. Revenons-en à nos moutons et à notre anglais de chez The Koalition. Voici la liste (réadaptée pour convenir aux consoleux comme aux pécéistes) :
1. Vous achetez au moins un nouveau jeu vidéo par semaine. Replaçons les choses dans leur contexte : vous téléchargez et donc essayez un nouveau jeu par semaine...
2. Le seul intérêt que vous voyez à travailler, c'est la possibilité d'acheter des jeux vidéo.
3. Vous achetez des jeux pour lesquels vous savez déjà que vous n'y jouerez pas plus de deux fois.
4. Vos relations amoureuses sont entachées par le fait que vous sacrifiez du temps à vos jeux vidéo pour en passer avec votre partenaire.
5. Quand vous ne jouez pas aux jeux vidéo, vous vous informez sur eux.
6. Vous ne regardez plus la télévision.
7. Vous réalisez que vous n'avez pas encore mangé uniquement dès lors que votre estomac se met à gronder.
8. Vous ne songez à déménager que pour agrandir l'espace alloué à votre ludothèque.
9. Vous êtes à court d'idées quand la conversation ne tourne pas autour des jeux vidéo.
10. Vous faites la poussière de votre coin PC/console chaque semaine (ou de votre chambre), sachant pertinemment que vous n'en feriez rien si vous n'aviez pas de console de jeu vidéo ou de PC là.
11. Votre unique souhait professionnel est d'être embauché dans l'industrie du jeu vidéo (c'est une erreur de traduction de PSP Gen du point #2, mais je trouve qu'elle s'accommode finalement assez bien avec la liste ci-dessus, et tant pis pour les dix commandements).
Alors, qui parmi vous se place dans la catégorie "drogué des jeux vidéo" ? Qui sera le prochain à passer dans "ça se discute" ou au 20 heures pour un fait divers dont le jeu vidéo est encore et toujours l'unique cause ?
Modifié le 17/04/2019 à 13:17
Modifié le 17/04/2019 à 13:17