Information délivrée depuis deux jours dans un quotidien brésilien tout ce qu'il y a de plus sérieux : un article, encore un, a été consacré à la dépendance aux jeux vidéo. On sait que le Brésil est l'un des pays dans le monde avec le plus de joueurs. C'est la raison pour laquelle ce sujet intéresse autant les parents ou tout simplement les curieux qui souhaitent en savoir plus à ce sujet. Bon inutile de le préciser on tombe tout de suite, encore une fois, dans le stéréotype : le joueur est un accroc et il faut le soigner. Voyons en détail la teneur de cette enquête.
Alors première chose on attaque fort, dès le premier paragraphe on associe les mots dépendance, joueur et toxicomanie. Le sujet est lancé et le thème bien clair, premier morceau choisi :
Vous étiez prévenu, ça attaque fort et même très fort et le partie pris par la journaliste est tout de même assez flagrant. Pas de nuance, pas de peut être, pas de séparation, non c'est de la généralisation pure et dure. Mais ce n'est que le début, car pour étayer ses propos notre reporter a choisi d'aller interroger la fondatrice de l'association américaine d'aide à la dépendance face aux ordinateurs, Elizabeth Woolley. Et cette femme, spécialiste dans son domaine, en rajoute une petite couche :
Par la suite, l'enquête par sur un autre constat. L'industrie des jeux vidéo favorise cette montée du nombre de toxicomanes, sa croissance étant continue et son chiffre d'affaire colossal, il devrait d'ailleurs atteindre 90 milliards de dollars en 2015. Ensuite une petite définition de l'addiction, vous êtes considéré comme étant un drogué lorsque vous passez plus de 16 heures sur un jeu sans interruption, ce qui est tout de même un chiffre qui ne doit pas être atteint pas énormément de monde mais reste bel et bien présent chez certains gamers. Il est d'ailleurs écrit par la suite que le Japon, la Chine et la Corée sont les trois pays les plus touchés, mais derrière, le Vietnam ainsi que l'Europe commencent tout doucement à se rendre compte de ce problème et ouvrent leurs premiers centres de réadaptation à la vie réelle.
Une fois que vous subissez votre sevrage les premiers symptômes apparaissent, ce sont les même que pour toute toxicomanie. Tout d'abord un état de déprime, une anxiété, des nausées, la peur, une irritabilité exacerbée et même parfois des comportements violents. Bref ça peut aller très loin si ce n'est pas encadré par des professionnels de santé. Afin d'étayer cette thèse sur les comportements dangereux, une étude néerlandaise est sortie des tiroirs, il s'agit d'un rapport très sérieux écris par le professeur Gert-Jan Meerkerk, il dit ceci :
Après ce tableau alarmiste vient la conclusion où l'on apprend qu'il faut en moyenne 90 jours pour être totalement sevré. Et si jamais ça ne vous suffisait pas sachez que la dépendance aux jeux vidéo peut créer des blessures, maux de tête, problèmes musculaires ou bien un mal de dos. De plus le fait de rester enfermé affaiblit votre système immunitaire car vous ne voyez plus le soleil et vivez dans un air non renouvelé. Bref lorsque vous en êtes à ce stade là il faut vraiment vous poser des questions existentielles sur votre devenir, de plus sachez que faire la cuisine, de l'exercice ou bien tout simplement lire un livre est beaucoup plus utile pour faire travailler votre mémoire qu'un écran d'ordinateur, dixit l'article toujours.
En bref et pour conclure, c'est une enquête assez orientée anti-jeux vidéo et qui a vraisemblablement pour but d'effrayer les parents des enfants de joueurs, où bien de ramener dans le droit chemin les brebis égarées. Même si il est vrai qu'il ne faut pas minimiser les risques d'addiction, il ne faut pas non plus plonger dans la paranoïa en nous faisant croire qu'un joueur deviendrait un Homme de Néanderdal à force de rester derrière son écran. C'est peut être le cas d'une infime minorité mais pour ces personnes là le problème ne vient pas de l'ordinateur mais plutôt de leur vie sociale hors de l'écran. Donc si vous êtes comme dans cette vidéo (qui rappelera des souvenirs à certains) allez vous faire soigner dans un centre spécialisé :
Alors première chose on attaque fort, dès le premier paragraphe on associe les mots dépendance, joueur et toxicomanie. Le sujet est lancé et le thème bien clair, premier morceau choisi :
« Certains se réfugient dans un espace virtuel qui conduit à une "cyberdépendance", c'est un réel problème dans des pays comme la Chine, la Corée du Sud et les Pays-Bas où c'est considéré comme une pathologie sociale que l'on peut soigner dans des centres de réadaptation pour les toxicomanes des jeux vidéos et de l'internet. »
Vous étiez prévenu, ça attaque fort et même très fort et le partie pris par la journaliste est tout de même assez flagrant. Pas de nuance, pas de peut être, pas de séparation, non c'est de la généralisation pure et dure. Mais ce n'est que le début, car pour étayer ses propos notre reporter a choisi d'aller interroger la fondatrice de l'association américaine d'aide à la dépendance face aux ordinateurs, Elizabeth Woolley. Et cette femme, spécialiste dans son domaine, en rajoute une petite couche :
« Il y a de plus en plus de gens pris au piège. Cette année sera celle d'une augmentation importante de ceux qui souhaitent quitter cette toxicomanie. Cette période de crise pousse les joueurs à jouer compulsivement et à se cacher dans un monde virtuel. »
Par la suite, l'enquête par sur un autre constat. L'industrie des jeux vidéo favorise cette montée du nombre de toxicomanes, sa croissance étant continue et son chiffre d'affaire colossal, il devrait d'ailleurs atteindre 90 milliards de dollars en 2015. Ensuite une petite définition de l'addiction, vous êtes considéré comme étant un drogué lorsque vous passez plus de 16 heures sur un jeu sans interruption, ce qui est tout de même un chiffre qui ne doit pas être atteint pas énormément de monde mais reste bel et bien présent chez certains gamers. Il est d'ailleurs écrit par la suite que le Japon, la Chine et la Corée sont les trois pays les plus touchés, mais derrière, le Vietnam ainsi que l'Europe commencent tout doucement à se rendre compte de ce problème et ouvrent leurs premiers centres de réadaptation à la vie réelle.
Une fois que vous subissez votre sevrage les premiers symptômes apparaissent, ce sont les même que pour toute toxicomanie. Tout d'abord un état de déprime, une anxiété, des nausées, la peur, une irritabilité exacerbée et même parfois des comportements violents. Bref ça peut aller très loin si ce n'est pas encadré par des professionnels de santé. Afin d'étayer cette thèse sur les comportements dangereux, une étude néerlandaise est sortie des tiroirs, il s'agit d'un rapport très sérieux écris par le professeur Gert-Jan Meerkerk, il dit ceci :
« En dehors de la création d'une dépendance, l'utilisation (au point de vue comportemental) de l'internet a également été associée à un isolement social, à la solitude, la dépression et également la perte d'un bien être psychologique général. »
Après ce tableau alarmiste vient la conclusion où l'on apprend qu'il faut en moyenne 90 jours pour être totalement sevré. Et si jamais ça ne vous suffisait pas sachez que la dépendance aux jeux vidéo peut créer des blessures, maux de tête, problèmes musculaires ou bien un mal de dos. De plus le fait de rester enfermé affaiblit votre système immunitaire car vous ne voyez plus le soleil et vivez dans un air non renouvelé. Bref lorsque vous en êtes à ce stade là il faut vraiment vous poser des questions existentielles sur votre devenir, de plus sachez que faire la cuisine, de l'exercice ou bien tout simplement lire un livre est beaucoup plus utile pour faire travailler votre mémoire qu'un écran d'ordinateur, dixit l'article toujours.
En bref et pour conclure, c'est une enquête assez orientée anti-jeux vidéo et qui a vraisemblablement pour but d'effrayer les parents des enfants de joueurs, où bien de ramener dans le droit chemin les brebis égarées. Même si il est vrai qu'il ne faut pas minimiser les risques d'addiction, il ne faut pas non plus plonger dans la paranoïa en nous faisant croire qu'un joueur deviendrait un Homme de Néanderdal à force de rester derrière son écran. C'est peut être le cas d'une infime minorité mais pour ces personnes là le problème ne vient pas de l'ordinateur mais plutôt de leur vie sociale hors de l'écran. Donc si vous êtes comme dans cette vidéo (qui rappelera des souvenirs à certains) allez vous faire soigner dans un centre spécialisé :
Modifié le 17/04/2019 à 13:19
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sauce
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OMG
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16h de jeu, je trouve pas que ce soit énorme si c'est occasionnel et si la personne en question n'éprouve pas le besoin de faire autre chose, c'est une question de point de vue.
J'ai passé un peut plus de 2mois l'an dernier, dans un HP avec un mec qui est devenu héroïnomane pour arriver à stopper Lineage. D'après lui c'était moins dangereux pour son avenir puisqu'il trouvait le temps d'aller au boulot.
Il y a des tas de raisons qui peuvent pousser quelqu'un a passer l'essentiel de son temps devant son pc, chacun a sa propre histoire, mais le jeu en lui même est que très rarement le fondement du problème.
Malheureusement, "l'addiction" est de plus en plus forte et il faut réagir pour les générations futurs qui seront confrontées à des réseaux sociaux et autres cybervie à outrance afin que justement ce ne soit pas le jeu lui même qui devienne un problème.
Il faut sensibiliser la population (les parents) c'est certain, chacun sa méthode c'est tout.
Modifié le 17/04/2019 à 13:19
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http://www.dailymotion.com/video/x2urxm_max-le-no-life-parodie-de-clement-l_fun
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t'es "extreme" Corb pour parler de glor comme ca
Modifié le 17/04/2019 à 13:19
Faut quand même pas abusé ceux qui ont ça on des problèmes dans la tête.
Modifié le 17/04/2019 à 13:19
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Sa fait 3 :O
Modifié le 17/04/2019 à 13:19
http://www.dailymotion.com/relevance/search/driss/video/x42o3_ca-se-discute-driss-le-nolife
Modifié le 17/04/2019 à 13:19
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Faut pas s etonner on voit des mecs qui savent pas se géré eux memeet qui sont dans l extreme et ca doit meme pas représenté 5% de la communauté des joueurs vraiment pathétiques ..... T_T
Modifié le 17/04/2019 à 13:19
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Si notre démarche vous intéresse : www.game-addict.org
Nous sommes ouverts, même aux critiques.
Merci,
DD
P.S.: j'adère complètement à la conclusion de l'article.