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L'ex-joueur d'Epsilon France, Malek "maleK" Bennouioua, connu aussi pour ses streams, a été victime il y a peu d'un "swatting" orchestré par l'un de ses viewers.

 

Cette pratique, venant des Etats-Unis, consiste à faire croire aux forces de l'ordre d'un état d'urgence chez un individu dans le but de l'interpeller en faisant survenir les hommes armés chez la victime. Celle-ci avait fait des ravages il y a quelques mois avant que le gouvernement ne s'en mêle, sanctionnant de façon exemplaire les malfaiteurs, et mettant ainsi provisoirement un terme à cette pratique stupide, choquante et bien souvent inconsidérée. 

 

 

Le swatting avait beaucoup inquiété puisqu'il devenait presque un effet de mode, prenant toujours plus d'ampleur et monopolisant les unités de leur prétention première. Malheureusement, un nouveau cas est à déplorer, touchant cette fois-ci le joueur français de CS:GO Malek "maleK" Bennouioua. Bien connu de la scène française, et à la personnalité "atypique" souvent décriée, maleK divise et ne laisse pas la communauté indifférente. Cela se caractèrise par des menaces et de nombreux messages de haine, mais également une fanbase relativement importante qui le suit et le soutient, qu'il surnomme affectueusement ses "cafardinhos". Dans le cas présent il s'agirait d'un de ses détracteurs qui l'aurait dénoncé pour braquage à main armée, entraînant le débarquement de la BRI à son domicile, avant de passer quelques heures en garde à vue.

 

C'est non sans émotion qu'il revient à chaud sur cette triste péripétie qui l'a naturellement très marqué, via un live Twitch qu'il ajoutera dans un second temps sur sa chaîne Youtube :

 

 

Peu avant les faits, Malek avait également été pris pour cible par un hacker qui dérobera de nombreuses informations personnelles comme des documents ou des contrats, tout en s'accaparant ses réseaux sociaux qu'il récupérera par la suite. Bonne nouvelle cette fois, le concerné a été débusqué et serait mineur, l'enquête se poursuit quant à l'implication ou pas concernant la cyberattaque.

 

Rappel de l'article 322-14 du code pénal qui concerne ce genre de procédé qui avait également touché le streamer Bibix :

 

Le fait de communiquer ou de divulguer une fausse information dans le but de faire croire qu'une destruction, une dégradation ou une détérioration dangereuse pour les personnes va être ou a été commise est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende.

Est puni des mêmes peines le fait de communiquer ou de divulguer une fausse information faisant croire à un sinistre et de nature à provoquer l'intervention inutile des secours.